Type de texte | source |
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Titre | Dialogue des morts |
Auteurs | Fénelon, François de Salignac de la Mothe |
Date de rédaction | 1692:1696 |
Date de publication originale | 1718 |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 1837 |
Editeur moderne | |
Date de reprint |
, « Parrhasius et Poussin », vol. 2, p. 608
PARRHASIUS
Je suis ravi de trouver un peintre moderne si équitable et si modeste. Vous comprenez bien que, quand Zeuxis fit des raisins qui trompaient les petits oiseaux, il fallait que la nature fût bien imitée pour tromper la nature même. Quand je fis ensuite un rideau qui trompa les yeux si habiles du grand Zeuxis, il se confessa vaincu. Voyez jusqu’où nous avions poussé cette belle erreur. Non, non, ce n’est pas pour rien que tous les siècles nous ont vantés.
Dans :Zeuxis et Parrhasios : les raisins et le rideau(Lien)